Quand ça coûte bonbon, ça coûte un bras ou encore la peau des fesses. Bref, il n'est même plus question de prix; sans savoir combien ça coûte, on comprend combien c'est cher!
Mais si j'y réfléchis, autant payer avec mon bras ou la peau de mes fesses m'évoque vraiment un prix très élevé que j'espère n'avoir jamais à payer, mais coûter bonbon?...
Coûter bonbon me rappelle davantage des souvenirs de cour d'école...où les bras bien agités et les fesses bien couvertes je jouais aux billes pour du beurre ou pouvais en racheter aux garçons contre des sacs de bonbons...
A cette époque, les bonbons étaient un réconfort comme une monnaie, une touche de sucré contre un peu plus de récré...
Mais même si à l'époque ma valeur de l'argent se résumait à quelques sucreries, aujourd'hui, je l'ai bien compris, les sucreries peuvent influencer, mais jamais vraiment acheter.
Ainsi, je ne comprends pas pourquoi coûter bonbon me coûte autant d'argent?
A double sens, et pas très claire, l'origine de l'expression pourrait aussi bien être un redoublement du mot "bon", assimilé à coûter cher pour insister sur le cher du coût, comme être assimilé aux parties intimes dont aucun homme ne remettra en cause leur valeur inestimable.
Avec ce deuxième sens, on se rapproche d'ailleurs de coûter la peau des fesses.
Entre bras, parties intimes ou peau de fesses..il est indéniable qu'au même prix indécent, je préfère payer en bonbons!
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